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Perrin : « Cela fait un petit moment qu’il faut être inquiet pour le maintien »

Présent à Geoffroy-Guichard hier pour assister à la déroute des Verts dans le derby, Loïc Perrin a livré ses impressions sur la rencontre au micro de France Bleu Saint-Étienne Loire. L’emblématique numéro 24 stéphanois en a également profité pour tirer la sonnette d’alarme et expliquer qu’il serait bien que des recrues viennent garnir l’effectif de Claude Puel avant la fin de ce mercato.

Une équipe bien trop faible

« C’était un match à sens unique, en perdant 2 à 0 à la mi-temps, on s’estime presque heureux. Nous avons perdu la bataille du milieu de terrain, et c’est bien souvent là que les matchs se jouent. Puis la qualité technique des Lyonnais a fait le reste. Quand on y arrive pas, et qu’on est trop faible comme nous l’avons été, c’est dur de se sortir de ce pressing. C’est dur de se procurer des occasions, on n’a pas su se sortir de ce pressing très haut, et les opportunités stéphanoises se sont soldées par des courses incroyables pour se projeter dans la surface adverse. »

Des renforts attendues par Perrin

« Cela fait un petit moment qu’il faut être inquiet pour le maintien. Cela fait un petit moment que nous sommes dans cette zone-là, notre avance de points se réduit fortement. Le match à Reims a été décisif et on l’a perdu. Oui il faut sonner la révolte, mais je sais que tous les joueurs en ont conscience. Du renfort serait le bienvenu au mercato, j’espère qu’il y en aura. Après, est-ce que le club sera capable de le faire financièrement ? C’est une autre question. »

0 thoughts on “Perrin : « Cela fait un petit moment qu’il faut être inquiet pour le maintien » Laisser un commentaire

  1. Ta raison perrin depuis l année dernière, si le championnat ne c était pas arrêté faute du covid on serait aujourd’hui en ligue 2 les deux burnes non rien vu venir et aujourd’hui on paye l incompétence de tous c’est nuls.

  2. Du blabla il y en assez si les joueurs ne veulent pas transpirer sur un terrain 90 minutes ils n’ ont qu’ à laisser leurs places et leurs payes à des joueurs moins connus mais plus volontaires. Beaucoup d’ ouvriers voudraient être à leurs places .

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