Pierre Ménès : « L’équipe récupère pourtant des blessés mais reste d’une insigne médiocrité »
L’ASSE a affiché un bien triste visage hier à Dijon et cela a été souligné par Pierre Ménès dans sa chronique du week-end sur le site de Canal+. Le journaliste met notamment en avant la pauvreté offensive de l’équipe stéphanoise et son incapacité à produire du jeu malgré les retours de certains joueurs d’expérience.
Un vilain 0-0
« L’affreux Dijon-Sainté s’est terminé par un vilain 0-0. Un match pendant lequel les Verts ont encore mis 70 minutes à cadrer une frappe. Les Stéphanois pourront se consoler en se disant qu’ils ne perdent plus, mais comme ils ne gagnent pas non plus… L’équipe récupère pourtant des blessés mais reste d’une insigne médiocrité. Quant au DFCO, sauver sa place en fin de saison relèvera du miracle. »
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je ne suis pas un inconditionnel de Ménès ( j’en ai horreur) mais sur ce sujet , je ne peux que lui donner raison . j’en rage que C Puel a laissé partir Beric. il joue sans un avant centre de métier. les centres en hauteur dans la surface adverse ne servent à rien , personne actuellement pour en reprendre un dans les 18 mètres. eh oui, Perrin et Béric ne sont plus la pour faire le boulot. Croisons les doigts que Debuchy ne se reblesse pas car alors se sera la catastrophe.
Pierre a raison nous avons pas la meilleur équipe de ligue 1 mais je pense que l,on peux faire beaucoup mieux pour cela faut des joueurs qui se bougent en 76 les gars se donnaient a fond et on a fait partie des meilleurs équipes d,Europe et sans vedettes mais c,était une autre mentalité
En 76 nous n avions pas khazri,bousebouse ,bouanga, ruffion et cie ….5000 francs etait le salaire moyen….nous c est 100000 minimum et les mecs se foutent de nous ,seuls les miens bien payés jouent ou essayent de jouer….puel lui est obligé de mentir a la presse et ronge son frein
Mènes à tout dit une équipe de fantômes pas d envie de se battre pas de jeu pas d attaque rien, encore et encore un match de merde.Quand je vois joué aujourd’hui bouanga je me dis qu’il y a bien un gros malaise, pour ne citer que lui .